Le calcul de résistance de la cheville
Quel que soit le type de cheville, sa résistance est calculée selon les types de ruines envisageables (rupture acier, rupture par extraction, rupture par fendage, rupture par cône de béton…). Afin de prévenir de telles conséquences, la résistance doit être supérieure à la sollicitation sismique, selon une formule disponible dans les textes réglementaires comme le fascicule de l’AFNOR mentionné dans les précédents articles.
Après avoir éclairé l’assemblée sur les enjeux liés au dimensionnement des ancrages, Yannick Salaun concluait la journée sur l’analyse du comportement de l’élément béton lors du séisme, autre facteur essentiel en matière de construction parasismique. Pour en savoir plus, rendez-vous pour la lecture du dernier article de la série